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Extrait : "Maryana Iskander, PDG. Rémunération de base (depuis janvier 2022): 453 000 USD"
Quand j'ai vu les chiffres des salaires et des hauts cadres de wikipédia, j'ai comme tout le monde crié au scandale et au fait que je ne donnerai plus jamais à cette association fondation.
Cependant, je me suis posé la question du pourquoi. Il est vrai que lorsqu'on analyse un petit peu une situation, tout n'est pas blanc ou noir mais il y a beaucoup de zone de gris.
Concernant wikipédia, je me suis dit : est-ce que je pourrais moi aller travailler 8h par jour pour wikipédia ? Je pense que je pourrais le faire quitte à renié un petit peu de mon salaire mais pas son intégralité.
Loin de moi l'idée de dire que je ne souhaite pas participer à la communauté mais je dois quand même vivre aussi. Et je pense que les gens qui sont dans la tête de wikipédia sont calés en droit et en juridique, ont des contacts pour que ce bateau immense, que représente ce site web, soit entre de bonnes mains pour le futur.
De la même manière, les bureaux de wikipédia se situent à San Francisco : loyers et coût de la vie assez élevé. Il pourrait très bien se relocaliser dans une ville, beaucoup plus modeste mais les commodités, les sous-traitants et les ressources en cerveau seraient beaucoup moins intéressantes que l'endroit où ils sont.
Il est à noter que des patrons d'entreprise qui ont des millions de connexions par jour donc des sociétés qui ont des sites web dans le trafic est identique à wikipédia, sont payés environ de 3 à 10 fois plus cher.
En conséquence, même s'ils paraissent exorbitants, je pense, que ces salaires sont un peu justifiés.
À tous les questionneurs, je répondrai : est-ce qu'e vous seriez prêts à travailler pour wikipédia à 8h par jour pour la moitié de leur salaire actuel, pour la gloire ?
En effet, il y a une différence entre "participer bénévolement à WIkipédia de quelques corrections à plusieurs heures par jour pour le bien de l'humanité" et "travailler pour une fondation 8 h par jour avec des objectifs" ? En effet, on peut arrêter le bénévolat quand on veut et le reprendre quand on peut.
Ah ben... C'est pas donné.
Comment les grands principes de l'économie et la sociologie peuvent s'insérer dans un jeu vidéo...
Passionnant.
Pour ceux qui veulent gagner plus et aller au U.S.A., voici un peu l'envers du décors...
Analyse très intéressante.
Extrait de la conclusion :
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Conclusion : Vers une stratégie de la qualité ? Ne plus considérer le travail comme un coût, mais comme un atout dans lequel investir.
À force d’être considéré exclusivement comme un coût, du fait des stratégies du low cost des entreprises et des gouvernements, le travail s’est trouvé fortement dévalorisé et abîmé… D’autres stratégies sont pourtant possibles, celles qui considèrent le travail comme un atout pour les entreprises et pour le pays. Ainsi, les Allemands investissent dans la qualification et la protection des salariés des industries exportatrices, les pays Nordiques investissent dans la formation tout au long de la vie et dans les bonnes conditions de travail de tous les salariés, et les entreprises de ces pays misent sur la qualité et l’innovation de leurs productions. Ces stratégies reposent sur la participation des salariés, aux innovations comme aux décisions. Les représentants des salariés occupent une place importante dans les conseils d’administration des entreprises allemandes ou nordiques. Le management qui domine est fondé sur l’horizontalité et l’implication, dans ce que l’on appelle des entreprises apprenantes dont un des pionniers fut Volvo en Suède. Rien d’étonnant dès lors à voir ces pays afficher des taux d’emplois des séniors plus élevés qu’en France, puisque les entreprises ont cherché à les garder, et que les salariés ont trouvé qualité, sens et reconnaissance dans leur travail. À quand une telle stratégie de la qualité pour la France ?
"""
Via : https://ecirtam.net/opennews/?gScfhw
Définition.
Les frais généraux et administratifs (souvent abréviés SG&A, de l'Anglais "sales, general & administration") sont l'ensemble des coûts engagés par l'entreprise pour mener à bien ses activités, hors coûts de production (souvent abréviés COGS, de l'Anglais "cost of goods sold").
Généraliste sur plein de domaine + Expert sur un domaine.
À mon humble avis, 2 raisons à cela :
- pb structure : si le coût de la personne est noyé dans un budget énorme, cela passe incognito. Ceci est inimaginable dans une PME.
- pb de management : si les objectifs fixés par le job ne sont pas "sensés" (voire croisés avec un autre manager ou un supérieur N+2), le salarié peut être amené à faire des choses inutiles.
Mais, bon. Ce sont des salariés qui peuvent au moins nourrir leur famille... Certes, il y a toujours mieux et le BORE OUT est une "plaie".
Au final, faire cohabiter le BURN OUT et le BORE OUT dans une même société, voire dans un même service est une incongruité absolue.
Discours très intéressant. Bien que nous en sommes conscients, nous qui nous intéressons à notre avenir et à celui de notre planète.
Cette notion, que je n'arrête pas de souligner depuis des années, est significative : "
Ce qui m'inquiète le plus, c'est qu'on n'arrive pas à s'entendre au niveau international, et que les questions économiques priment toujours sur les questions environnementales. Or c'est un raisonnement court-termiste puisque sur le long terme, les profits des entreprises sont directement menacés par le changement climatique."
Mouais... Cela amène plein de questions...
1) Comment ont-ils pu faire autant d'argent pour autant en redistribuer ? Les plus-values sont-elles écologiques, équitables... ?
2) Quel sont les salaires de base ?
3) Quelles sont les conditions de travail ?
Peut-être que je me trompe complètement et que cette société est totalement 'honnête et pure'.
Mais alors.
Pourquoi espère-t-on (presque) tous avoir beaucoup d'argent d'un coup ? Parce qu'on n'est pas heureux... parce qu'on n'a pas assez d'argent... Parce que les rêves (publicité et frasques de riches) qu'on nous vend sont inaccessibles...
Incroyable ! C'est passé ! J'en crois pas mes yeux.
Extrait :
"Concrètement, elle vise les entreprises qui réalisent un chiffre d’affaires sur leurs activités numériques de plus de 750 millions d’euros dans le monde, dont 25 millions d’euros pouvant être rattachés à des utilisateurs localisés en France.
L’idée est de les imposer à hauteur de 3 % du chiffre d’affaires réalisé en France, notamment sur la publicité ciblée en ligne, la vente de données à des fins publicitaires et la mise en relation des internautes par les plateformes."
J"espère qu'elle va être appliquée et que les autres pays européens vont s'en inspirer.
Extrait : "
« Cette transparence va porter un coup d’arrêt aux activités des agents immobiliers peu scrupuleux qui surévaluent un logement pour que le propriétaire signe un mandat de vente », se réjouit Sébastien Kuperfis, PDG du groupe Junot, spécialisé dans l’immobilier haut de gamme.
Le vendeur sera lui aussi mieux informé sur le gain qu’il peut espérer. Jusqu’à présent, les acheteurs et les vendeurs pouvaient s’appuyer sur les sites d’estimation en ligne mais les informations fournies sont parfois sujettes à caution. Les notaires, quant à eux, bénéficient d’informations fiables au travers de leurs bases Perval et BIEN (base d’informations économiques notariales). Mais celles-ci ne sont pas ouvertes au grand public."
Le tout basé sur de l'opendata.
Voir le site ici : https://app.dvf.etalab.gouv.fr/
C'est dingue qu'il faille toujours faire une mise au point d'arguments politiques !
Extrait :
"Les Français travaillent plutôt plus que les autres"
"Les Français dans le peloton de tête européen sur la productivité"
Je rappelle que Google a envoyé une notification de modification de sa localisation en Europe en Irlande...
Est-ce lié ?
Espérons juste que les dirigeants ne nous sortirons pas l'excuse du maintien de l'emploi pour justifier ces ententes illégales !
Extrait en plus :
"A ce jour, c’est Orange qui a été sanctionnée de la plus lourde amende (350 millions d’euros en 2015), suivie d’Engie, pour la fourniture de gaz (100 millions en 2017). Pour le reste, il s’agit de cartels. Les géants des lessives (Colgate-Palmolive, Henkel, Unilever, Procter & Gamble…) ont été condamnés à 368 millions d’euros en 2011, ceux des produits d’hygiène et d’entretien (L’Oréal…), à 951 millions, en 2014. Une dizaine de grandes messageries ont été sanctionnées (672 millions), en 2015, et les trois opérateurs de téléphonie mobile, en 2005 (534 millions). Il y a également eu des sanctions pour entente sur les prix de la farine (242 millions), en 2012, et la production de lino (302 millions), en 2017."
Extrait : "Les révélations de la presse depuis 2008 ont peu à peu provoqué des changements législatifs dans la lutte des Etats contre l’opacité financière, le blanchiment d’argent et l’évasion fiscale.".
"Peu à peu", c'est pas beaucoup, mais c'est déjà un début.
Merci aux journalistes... et aux "leakers" !
+1
Extrait : "Et c’est désolant, car Heetch est une entreprise emblématique d’une économie collaborative dans ce qu’elle peut faire de plus vertueux : pratique, sociale, sans intermédiaire, porteuse de sécurité et de réassurance, bref rendant un vrai service aujourd’hui insatisfait.
En ce sens, Heetch a créé son propre marché et n’a rien volé à personne. Et ce n’est pas un gros machin capitaliste américain qui ne paie pas ses impôts chez nous. Il serait peut-être temps qu’on laisse émerger et grandir de vraies start-ups françaises dans le domaine de la mobilité et du transport de personnes."
Annuaire de l'économie collaborative.
Tout pour "co-machiner" avec d'autres.
Par exemple, cela référence :
- Blablacar pour les transport,
- le bon coin pour les objets,
- Airbnb pour les locations...