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Je suis tout à fait en phase avec cette réflexion.
Extrait : "
On était arrivé à une situation cocasse :
- les politiciens ont rejeté plusieurs fois l’idée d’une licence globale permettant de légaliser le piratage.
- Ensuite une boîte américaine a proposé pour un prix fixe un catalogue à peu près illimité ce qui a grandement réduit le piratage. On était donc dans une situation proche de la licence globale sauf que le pognon revenait à une boîte privée outre-atlantique.
- Et maintenant toutes les concurrents fractionnent le marché et le piratage repart de plus belle.
"
Pour celles et ceux qui n'auraient pas encore compris...
Il a fallu une médiatisation de cette "attaque de rue" pour provoquer une mise en examen. Je ne doute pas qu'il y a eu des précédents, mais cette affaire peut ouvrir un peu plus les yeux à la population, quant au harcèlement quasi-quotidien des femmes dans la rue.
Seul regret : "[...]l’agacement permanent de l’interessé à l’audience, son absence de remords[...]". Mais comme le précise l'article : "Peut-être ce procès médiatique aura-t-il fait progresser de quelques centimètres la lutte contre les violences sexistes ?"
Notons, quand même que le harcèlement de rue, n'est sans commune mesure à la maltraitance des femmes dans les foyers, qui ne doit pas être oublié. La fin des travaux forcés me peine parfois...
L'étude du discours via les "décodeurs", est révélateur du "populisme vs. réflexion".
Certains iront toujours plus vite dans une déduction limitée. Mais si on passe du temps à expliquer, ils pourront comprendre. Seul le temps est notre ennemi.
Eh bien ! Ça va être sévère.
Par contre, je ne vois rien sur :
- comment on retrouve les chauffards qui font des courses sur l'autoroute de nuit ?
- comment on vérifie la santé des conducteurs ?
- comment on forme les conducteurs tout au long de leur vie ?
- comment on vérifie qu'un conducteur ayant son permis conduit toujours ? Certaines personnes âgées (ou non) ne conduisant plus, "vendent" leurs points sur Internet.
- comment on sanctionne les sociétés qui demandent d'aller toujours plus vite à leurs employés ?
- comment on sanctionne les personnels de gendarmerie et de police ou du gouvernement (ministres and co) commettant des infractions routières ?
Peut-être que ces points existent... Je ne sais pas.
"
Pour rappel, voici les onze infractions vidéo-verbalisables actuellement :
Les excès de vitesse.
Le non-respect des stops et feux rouges.
Le non-respect des distances de sécurité.
L'usage de voies réservées (couloirs de bus, pistes cyclables).
Le défaut de ceinture de sécurité.
L'usage du téléphone tenu en main.
La circulation, l'arrêt et le stationnement sur les bandes d'arrêt d'urgence.
Les chevauchements et franchissements de lignes continues.
Le non-respect des règles de dépassement (par la droite).
Le non-respect des « sas vélos » aux feux tricolores.
Le défaut de port de casque pour les deux-roues motorisés.
"
Très belle victoire. Bravo !
Continuez.
C'est capital de le rappeler voire d'imprimer ceci et le garder dans votre portefeuille (pour le potable) ou dans votre sac photo-vidéo (pour ces appareils).
Circulaire n°2008-8433 du 23 décembre 2008
No comment.
Via : plein de monde...
Toujours convaincus par "je n'ai rien à cacher !" ?
Idem pour les objets connectés ?
En réponse à des hoax sur Internet.
Non, on n'a pas le droit. Mais on a le droit d'appeler les secours.
Extrait : "les forces de l’ordre sont les seules à avoir le droit de "procéder à l’ouverture de tout véhicule lorsque la vie de l’animal est en danger", dispose l’article L214-23 du code rural."
Extrait : "Au point qu’André Staltz en arrive à cette conclusion pessimiste : dans un futur proche, les géants « contourneront » le Web. Celui-ci « perdra de son intérêt » et « son infrastructure sera optimisée uniquement pour le trafic de Google, Facebook et Amazon ». Bref, il deviendra un « réseau de trois réseaux, un Trinet »."
Extrait : "Bonne ou mauvaise idée ? Difficile à dire car, en France, la vidéosurveillance n’est pas très… surveillée. Elle est pourtant coûteuse et empiète sur la vie privée des individus. Dès 2011, la Cour des comptes s’agaçait de l’absence d’évaluation de son efficacité. « Les différentes études conduites à l’étranger, notamment au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et en Australie, ne démontrent pas globalement l’efficacité de la vidéosurveillance de la voie publique », s’inquiétait-elle même dans son rapport."
Résumé :
" A-t-elle un effet dissuasif sur les délinquants ?
Cela dépend des cas.
Protège-t-elle du terrorisme ?
Non.
Réduit-elle la délinquance sans la déplacer ?
Non.
Aide-t-elle à élucider les infractions ?
Oui… mais dans très peu de cas. [...] les caméras n’aident à élucider que 1 % à 3 % des infractions commises sur la voie publique[...]
"
Encore un superbe article.
Extrait :
"Quand vous dites "je ne me soucie pas du droit à la vie privée parce que je n'ai rien à cacher", ce n'est pas très différent que de dire "je me fiche de la liberté d'expression parce que je n'ai rien à dire" ou "de la liberté de la presse parce que je n'ai rien à écrire".
Edward Snowden"
Analyse pertinente.
Tellement important que cela devrait être enseigné à l'école !
Et hop ! Un petit pavé dans la mare...
"L'esprit critique versus la gouvernance..."
Je pensais qu'avec Microsoft, on ne pouvait pas aller plus loin.
Erreur !
Voilà (parmi d'autres choses), ce qui arrive quand un pays est gouverné par les religieux...
À vous de juger le "choc de la chorégraphie" !
Extrait :
"La chorégraphie de quelques jeunes filles a peut être mis fin à la carrière de Mohammad Ali Najafi, le maire de Téhéran. Le maire de la capitale iranienne a remis sa démission mercredi 14 mars. Quelques jours auparavant, il avait assisté à une cérémonie au cours de laquelle des jeunes filles avaient dansé, selon des médias iraniens. Donnée en l’honneur de la journée iranienne des femmes, la célébration avait été très critiquée par une partie de la société iranienne et par ses représentants religieux.
En Iran, les filles de plus de 9 ans n’ont pas le droit de danser en public. Finalement convoqué par le procureur de Téhéran, Mohammad Ali Najafi a ensuite démissionné, officiellement pour « raisons médicales ». Devenu maire de Téhéran en août 2017, il était le premier réformateur à occuper ce poste depuis 2005."