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Ok. Ok va essayer d'y penser...
Sauf que la tournure maladroite "négative" est parfois une bonne manière de distiller le fait qu'on ne veuille pas être contacté.
J'adore le trait d'humour : « Ils ont pas tort. Je fais pareil avec les impôts : s’ils me follow pas, je paie pas ! »
Solution : "il pleut à verse"
Encore une preuve que la langue française :
- n'est pas cohérente
- est hautaine et élitiste
J'aime ma langue maternelle. J'aime sa précision, la pluralité de ses mots...
Mais je n'aime pas ses exceptions et son ambiguïté.
La SF permet d'ouvrir le champ des possibles, de se questionner, de réfléchir sur des hypothétiques futurs "cohérents", voire "crédibles".
Extrait : « À quand une Red team au ministère de la Santé ou de l’Écologie, s’interroge Ugo Bellagamba. Les politiques ont encore du mal à saisir l’intérêt de la SF pour ouvrir les possibles. »
C'est vrai que cela craint un peu... Sans généraliser, il est clair que nous ne lisons de moins en moins.
Mais "évoquer le dessin animé de Walt Disney Le bossu de Notre-Dame plutôt que le roman de Victor Hugo qui l’a inspiré" fait preuve d'un manque cruel de culture générale.
Même si on n'a pas lu l’œuvre originale, il existe des résumés et des analyses qui permettent de 'combler' un peu ses lacunes.
Du coup → «donc», «de ce fait», «par conséquent»
À mon époque, on disait "girly". Maintenant, cela fait vieux. On dit "kawaii"...
Après analyse des termes, il est possible que "girly" soit plus lié au "féminisme ado" et "kawaii" plus au côté "mignon" de quelque chose.
Allez expliquer ça à une ado... 😅
Très bonne liste.
À noter pour les (prochaines) vacances.
Oh zut, on dit "être à même de + verbe" et non pas "être à même à + verbe".
On en apprend vraiment tous les jours... Grrrr.
Faire des images est à la portée de tous actuellement.
L'exprimer correctement ne l'est pas...
Ou alors passer en anglais.
Toujours très intéressants, ces articles sur les langues.
J'adore les Québécois.
Ces gars-là parlent 1000x mieux anglais que nous, français, tant au niveau prononciation que vocabulaire.
Et pourtant, ils essaient toujours de ne pas mettre d'anglicisme dans leur vocabulaire français. Ils réfléchissent et inventent, des mots-valises, par exemple.
Alors, que nous, français, faisons strictement le contraire... avec un accent de merde et des mots anglais sortis de leur contexte. Encore une fois, les français vivent sur leur acquis de gloire passée.
On est vraiment nuls.
Vive le Québec !
J'ai aussi ces tics de langage...
Quelques trucs et astuces rapides pour s'en défaire.
"du coup" -> « donc », « de fait », « de ce fait », « et alors », « à la suite de quoi », « à ce moment-là », « lors », « par conséquent », « en conséquence de quoi (ou pas de quoi, d’ailleurs) », « et soudain »
"mis en suspens"
J'ai toujours du mal avec ce mot.
Comprendre certains termes mal utilisés en Anglais.
Très intéressant.
Voir aussi ici : https://www.e-education.psu.edu/styleforstudents/node/1786
5 mots (manquants?) en français :
- Kitsch : "un objet, d’un décor, d’une œuvre d’art dont le mauvais goût, voire la franche vulgarité, voulus ou non, réjouissent les uns et dégoûtent les autres"
- Killfie : "ce moment où vous vous mettez dans une pose extrêmement périlleuse... pour vous prendre en selfie"
- Abbiocco : «envie de dormir», «accès de somnolence», «coup de barre»
- Mudit : "bonheur que l’on ressent de voir celui de quelqu’un." = empathie joyeuse totale?
- Gigil : "témoigner physiquement son affection"
Je confonds toujours les 2 écritures.
Extrait :
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Le mot suspense désigne principalement le sentiment d’angoisse éprouvé par un spectateur ou un lecteur arrivé à un point-clé d’une histoire, qui attend de savoir ce qu’il va se passer ensuite.
Ce mot est emprunté à l’anglais et on reprend son orthographe d’origine en français : avec un s et un e à la fin. On n’écrit donc pas suspence.
Suspense ou suspens ?
La question du e final est très intéressante, car il existe un autre mot sans e, suspens, qui appartient à la même famille. Ce mot s’utilise dans la locution en suspens, qui veut dire « dans l’incertitude, dans l’attente ». Exemple : cette question reste en suspens (elle n’a pas de réponse pour le moment, elle n’est pas traitée).
Et c’est d’abord ce mot français suspens que l’anglais a emprunté, en le transformant en suspense et en le spécialisant dans le domaine de la fiction (littérature, cinéma).
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Moi : "Ce que j'ai appris, je ne le sais plus. Le peu que je sais encore, je l'ai deviné." (Nicolas de Chamfort)
Eux : "La culture, c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale."
Moi : Jean Delacour
Extrait :
"Convaincre fait appel à des arguments et sollicite la raison, tandis que persuader fait appel aux sentiments et sollicite l’émotion"