Weekly Shaarli
Week 05 (January 31, 2022)
Règle fail2ban pour ce trou de sécurité, bouché, mais qui permets de bloquer les malins qui tentent

Je suis plutôt sceptique sur la méthode : "Photoshop avec trois applications mobiles, FaceApp (éditeur de visage), Gradiente (application permettant de découvrir à quelle star on ressemble) et Remini (utilisée pour améliorer la définition des photos)"
Mais les résultats sont très sympathiques

5 mots (manquants?) en français :
- Kitsch : "un objet, d’un décor, d’une œuvre d’art dont le mauvais goût, voire la franche vulgarité, voulus ou non, réjouissent les uns et dégoûtent les autres"
- Killfie : "ce moment où vous vous mettez dans une pose extrêmement périlleuse... pour vous prendre en selfie"
- Abbiocco : «envie de dormir», «accès de somnolence», «coup de barre»
- Mudit : "bonheur que l’on ressent de voir celui de quelqu’un." = empathie joyeuse totale?
- Gigil : "témoigner physiquement son affection"
Je confonds toujours les 2 écritures.
Extrait :
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Le mot suspense désigne principalement le sentiment d’angoisse éprouvé par un spectateur ou un lecteur arrivé à un point-clé d’une histoire, qui attend de savoir ce qu’il va se passer ensuite.
Ce mot est emprunté à l’anglais et on reprend son orthographe d’origine en français : avec un s et un e à la fin. On n’écrit donc pas suspence.
Suspense ou suspens ?
La question du e final est très intéressante, car il existe un autre mot sans e, suspens, qui appartient à la même famille. Ce mot s’utilise dans la locution en suspens, qui veut dire « dans l’incertitude, dans l’attente ». Exemple : cette question reste en suspens (elle n’a pas de réponse pour le moment, elle n’est pas traitée).
Et c’est d’abord ce mot français suspens que l’anglais a emprunté, en le transformant en suspense et en le spécialisant dans le domaine de la fiction (littérature, cinéma).
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